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Affaire conclue : un candidat ment à Julien Cohen et se fait démasquer !

Dernièrement dans Affaire conclue, un candidat s’est permis de glisser un mensonge à Julien Cohen. Mais l’acheteur de l’émission n’est pas dupe. On fait le point pour vous !

Mardi dernier, les inconditionnels d’Affaire conclue ont pu visionner des enchères inédites sur France 2. L’après-midi a notamment été marquée par le mensonge d’un vendeur à destination de Julien Cohen. Une fourberie qui n’est bien évidemment pas passée inaperçue aux yeux de l’acheteur qui a pris soin d’examiner l’objet de plus près…

Les acheteurs perplexes suite aux propos de Rémi

Rémi s’était rendu cette semaine sur le plateau de Sophie Davant pour céder une affiche signée l’artiste Keith Haring. Le vendeur espérait donc réaliser une bonne affaire en décrochant un joli prix à l’issue des enchères. L’article en question date de 1988 lors de la promotion du New York City Ballet. Cependant, le chef-d’œuvre était reproduit ici comme une banale reprographie, dont la série n’était pas limitée. L’expertise, assurée par Patricia Casini-Vitalis, a donné une valeur d’estimation de 100 euros, en raison de son « côté extrêmement décoratif ».

Une somme qui n’a pas suffi au participant qui espérait donc pouvoir faire mieux une fois devant les acheteurs de l’émission. Lorsqu’il s’est présenté dans la salle des ventes, Alexandra Morel a commencé par lui demander : « Pourquoi vous la vendez ? ». Et son interlocuteur d’expliquer : « Je vais déménager et du coup on vide un peu l’appartement. On en a bien profité avec ma compagne et on a décidé de la vendre ». Caroline Margeridon a ensuite pris la parole en commentant : « Vous ne l’aviez pas encadrée ». Une réflexion désapprouvée par le principal intéressé. De quoi susciter les doutes dans la salle…

Julien Cohen se la joue Columbo

Comme l’affiche ne présentait pas le moindre trou de punaise, Rémy a assuré qu’il s’accrochait chez lui « avec des pinces, un peu comme sur un chevalet avec derrière un panneau de bois ». Des déclarations qui ne passent pas du tout auprès de l’acheteur aux lunettes bleues. « Et vous l’avez achetée il y a longtemps ? » a interrogé Julien Cohen en analysant l’objet. « Il y a deux ans », lui répond l’acheteur.

« Et elle est restée deux ans fixée chez vous ? », a insisté le collègue de Sophie Davant. Ce dernier était particulièrement surpris en voyant quelques détails. Par exemple, l’affiche se roulait toute seule dès qu’on ôtait la pince. Aussi, les côtés ne présentaient absolument aucune trace. « Je l’ai désencrassé, avant », a souligné le candidat. « Tu laisses ça deux ans chez toi, il y a une marque », a assuré l’antiquaire, de plus en plus sceptique.

« Sur les pinces, j’ai mis des… », a lâché le participant. « Des moufles ? », l’a interrompu Julien Cohen, avec un sourire du coin des lèvres. Le jeune homme, embarrassé, a insisté sur le fait qu’il avait mis des patins. « Des patins… Des patins sur les pinces… », a réitéré l’acheteur, toujours méfiant. Pris au pied du mur, le vendeur finit par balancer : « Pour être sincère, elle n’a pas vraiment plu à ma femme. Donc c’est vrai qu’elle n’est pas restée longtemps exposée… ».

Aux termes de toute cette supercherie, l’ancien acolyte de Pierre-Jean Chalençon finit par conclure : « Voilà ! Dites-moi la vérité, monsieur. » L’affiche a été cédée à 120 euros par Diane Chatelet. Un peu coûteux pour une reprographie accessible à moins de 75 euros sur Etsy. Gare aux prochains vendeurs qui tentent de berner Julien Cohen !