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Michel Sarran : cette expérience amère qu’il conserve du tournage de Top Chef 12 !

Michel Sarran s’est récemment confié au sujet d’un détail particulier qui l’a irrité lors du tournage de la saison 12 de Top Chef. On vous dit tout ! 

Michel Sarran a apprécié le tournage de la douzième édition de Top Chef, à quelques détails près. En effet, bien que cette nouvelle saison ait été riche en belles découvertes, il a cependant retenu un souvenir amer de cette expérience. Une insatisfaction due à un rendez-vous qui n’était pas des plus agréables. Il s’est confié à cœur ouvert sur le sujet lors d’une entrevue pour Voici

Ce détail de la 12e saison qui ne passe pas…

Les inconditionnels de l’émission « Top Chef » se retrouvent chaque vendredi devant M6 pour découvrir la suite du fameux concours. Parmi les membres du jury les plus anciens figure Michel Sarran, qui s’est livré au sujet d’une anecdote particulière cette semaine pour Voici. Selon ses confidences, cette 12e saison représente celle qu’il a le plus appréciée le long de ces années de participation au programme. Comme il l’explique : « Les chefs intervenants sont des monstres scotchants (…). Le niveau des participants est tellement homogène qu’il est difficile pour nous de les éliminer lors de l’épreuve de la dernière chance ».

Il faut dire qu’à la vue des premiers épisodes, on a remarqué que les challengers étaient incroyablement talentueux. Si le chef de 59 ans a pris un malin plaisir à officier dans cette 12e édition, il n’a pas cependant apprécié les mesures sanitaires mises en place pour limiter la propagation du coronavirus. Selon le responsable du programme qui s’est confié à TV Mag : « L’objectif était que le virus n’affecte pas la structure de l’émission ». Les initiatives mises en place ont quelque peu irrité l’as des fourneaux.

Des référents Covid-19 qui surveillent tout en permanence

Michel Sarran devait dans un premier temps respecter à la lettre les gestes barrières. À ce propos il affirme : « La plus grosse métamorphose pour moi, qui suis de nature impulsive, était le fait de ne pas pouvoir s’enlacer lorsqu’un participant réalise un bel exploit ». Le principal concerné précise également lors de son interview : « Des référents surveillent en permanence le respect de ces gestes barrières. Ils s’assurent également du respect du port de masque et nous rappellent à l’ordre en cas de situations à risque ». Toujours selon ses révélations : « Il fallait changer de cuillère à chaque fois qu’on prenait le goûter (…) Il y avait plein de petites choses ».

Mais tout ce protocole n’avait rien de pesant comparé au rendez-vous hebdomadaire auxquels les jurés de l’aventure sont soumis. Comme l’illustre le mari de Françoise : « On avait des tests antigéniques d’un côté, des PCR de l’autre » et de préciser : « Mon nez est une autoroute à six voies, on peut y passer des torchons de cuisine ». Des expériences douloureuses que le chef est heureux de ne plus avoir à affronter depuis la fin du tournage.