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Télé-réalité : Moundir dénonce des « arnaques » concernant certains placements de produits !

« Des arnaques en bande organisée ». Moundir vient de faire des révélations fracassantes concernant les placements de produits réalisés par des candidats de télé-réalité. On vous dit tout !

À l’occasion de son passage au micro de Sud Radio, Moundir a dénoncé certains candidats de télé-réalité. Selon lui, ces gens qui deviennent pour la plupart des influenceurs sur les réseaux sociaux sont membres d’une « arnaque en bande organisée ». Le point à travers cet article !

Un business florissant

S’il y a bien un métier qui a la cote ces dernières années, c’est bien celui d’influenceur. Et en plus, il permet de gagner un salaire très confortable. Selon l’agent de personnalité Magali Berdah, les influenceurs touchent entre 300 et 5000 € par publication. Comme elle l’a confié au micro d’Europe 1 en 2018, elle-même étant devenue une influenceuse. À titre d’illustration, Milla Jasmine (avec 3 millions de followers) empoche entre 80 000 et 100 000 € par mois.

Dans le reportage intitulé « Les 20 ans de la télé-réalité », la jeune femme a confié : « La télé et les placements de produits sont indissociables. Lorsqu’on participe à une émission de télé-réalité, on gagne en visibilité sur la Toile. Cette notoriété attire les marques ». Un documentaire qui a été retransmis sur la chaîne TMC il y a plusieurs semaines. Une activité qui n’est pas à l’abri des dérives, à l’instar du dropshopping. Pour rappel, il s’agit d’un moyen de commerce par lequel le commerçant ne dispose pas de stock. C’est un fournisseur qui gère l’intégralité de la livraison.

Moundir hausse le ton contre cette pratique douteuse

Le métier d’influenceur n’est pourtant pas aussi transparent et honnête que cela puisse transparaître, à en croire les révélations de Moundir. L’ancien candidat de Koh-Lanta a affirmé : « Le dropshopping est aujourd’hui une pratique légale. Mais les escroqueries qu’il y a derrière n’ont rien du dropshipping. C’est ce qu’on appelle de l’arnaque en bande organisée. Un préjudice de 300 millions d’euros est détourné depuis ces plateformes. Il faut agir, une autorité devrait pouvoir gérer cela ! » s’est-il indigné.